Le développement web et les nouvelles fonctionnalités

Le développement web consiste à produire des lignes de code tout en tenant compte des spécificités techniques définies dans le cahier des charges. Il s’agit de créer un programme. Les pros des langages informatiques utilisent souvent les langages comme PHP, HTML, CSS, JavaScript, Kotlin, Java, C et C++, Python, Swift et Ruby. Le développement des applications mobiles et du système Android peut s’opérer avec le langage Java.

Ce dernier est le plus connu dans la lexique du développement web. Il a l’atout de pouvoir s’adapter à toutes les plateformes de programmation. Python est un langage proposé en open source dédié au développement des applications, des interfaces graphiques et des jeux vidéo. YouTube et Instagram se développent à partir de ce langage de programmation.

Les langages informatiques et leur utilisation

Les langages de programmation sont utilisés dans quatre domaines que sont le site web statique, le site web dynamique, l’application mobile et l’IA. HTML, CSS et JavaScript sont conçus notamment pour la programmation de base et pour développer des interfaces graphiques. Le HTML sert pour la structuration de la page web ou l’intégration des éléments graphiques ou visuels issus du langage CSS. JavaScript permet au navigateur d’afficher des scripts sur la page. Il fait partie des langages clients. Ruby et PHP sont des langages serveur utilisés pour la gestion des données sur le site web dynamique. Le PHP est un outil pour développer le lien entre la page web et le serveur.

C’est un langage flexible et compatible avec divers systèmes d’exploitation et bases de données. Ruby est un langage de programmation interprété plus accessible aux débutants en développement web. Swift et Java sont pour le développement d’une API mobile. Vous pouvez expérimenter le Java Development Kit, le Java Virtual Machine et le Java Runtime Environment. Swift a été conçu par Apple pour le développement d’une application pour MAC et pour iOS. Le langage C et ses évolutions C#, C++ sont des langages de programmation qui conviennent aux débutants. Java et Python sont utilisés surtout pour la programmation d’intelligence artificielle.

L’apprentissage des concepts techniques en développement web

Une page web doit être écrite dans un langage technique. Ce qui ne sera pas possible sans le développement web. Il existe une variété de langues de programmation. Parmi les plus utilisées par la communauté des développeurs, on cite JavaScript, PHP, Swift, Java, Python, Bootstrap, MySQL, WordPress, HTML et CSS. À chaque langue de programmation correspondent des applications servant à l’exploitation optimale de l’outil. Le développement web peut avoir l’air compliqué pour vous, mais le code est accessible à tout le monde.

Il suffit d’apprendre quelques concepts techniques ou de suivre une formation en ligne. Il n’y a pas de solution magique, vous devez évoluer pas à pas. L’apprentissage peut être facilité par l’existence d’une communauté de codeurs en ligne sur laquelle l’apprenant peut poser des questions ou faire part de ses réalisations. L’apprentissage peut concerner à la fois les langages de programmation, les techniques de conception et de modélisation d’un site web et les outils de développement comme CMS et frameworks.

L’utilité d’un langage de développement web

Un langage de développement web permet au développeur web ou même à l’apprenant d’ajouter des textes sur une page web, d’en faire la mise en forme, d’insérer des images ou de mettre un formulaire ou un menu. C’est le cas pour les langages de base HTML 5 et le CSS 3. PHP et Ruby sont des langages de développement web d’usage général. Ils peuvent être utilisés pour le développement internet et pour les logiciels.

Un développeur web peut exceller dans ces quatre spécialités : le développeur front-end, le développeur back-end, le développeur full-stack et le développeur mobile. Le front-end concerne le visuel et les interfaces graphiques, autrement dit tout ce que vous voyez lorsque vous visitez un site web. Le back-end est une application pour stocker les informations dans la base de données d’un serveur. Le développeur full-stack contrôle tout le processus du développement web et a des connaissances aussi bien en front-end qu’en back-end.

La formation pour maîtriser le développement web

Pour devenir développeur web, il faut des années d’études dans une école spécialisée. La formation est conseillée au titulaire d’un bac+2 en BUT informatique ou en BTS. Elle peut être renforcée par l’obtention d’un Master 2 en digital ou par les acquis dans une école spécialisée en informatique. A l’issue de la formation, il vous est possible de travailler en entreprise, en freelance ou encore de coder une start-up. Apprendre le développement web en ligne est une autre option, mais il est toujours nécessaire que la formation soit encadrée de A à Z pour ne pas partir dans tous les sens et risquer de s’y perdre.

La formation en ligne est plus économique et plus motivante, d’autant plus qu’elle permet à l’apprenant de bien gérer son temps suivant sa disponibilité. Elle est garantie par un coach expérimenté. Elle se compose de plusieurs cours dispensés en plusieurs phases. Vous commencerez par l’apprentissage des bases liées à la découverte en détails de l’univers du web. Vous continuerez ensuite avec les expériences et le projet. Pour couronner le tout, vous terminerez par une mission spéciale.

L’offre digitale en ligne au service des clients

Pour optimiser la visibilité de votre site web ou de la marque de vos produits, le recours à une équipe de professionnels en matière de web s’avère indispensable. Un bon référencement SEO permet d’augmenter le trafic sur votre site web et également de fidéliser vos clients. En d’autres termes, un site web dont le contenu est intéressant attire de plus en plus de visiteurs. Les services offerts par une agence SEO sont alors non négligeables. Ainsi, pour la création et le développement d’un site web en Tunisie, Insightful vous fait part de ses 25 ans d’expertise en digital et print pour améliorer votre stratégie marketing.

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Les cibles de la cybercriminalité

Quand on parle de cybercriminalité, les crimes commis touchent les systèmes informatiques, mais aussi, les réseaux y afférents. L’objectif est donc, de porter préjudice et de détériorer les procédures de traitements de données informatiques. Il s’agit aussi de tout ce qui concerne les infractions effectuées sur des informations numériques d’autrui et les manquements aux règles de la cryptologie, comme la cryptologie utilisée de manière frauduleuse et malintentionnée. Ce type de crime concerne également les actes malveillants effectués à travers les réseaux. Par réseau, les cybercriminels votre surtout utiliser Internet pour leurs méfaits, comme l’usage du numérique à des fins pédophiles et tout ce qui se rapporte à la violation des droits communs.

Différence entre cybercriminalité et criminalité informatique

Ces deux notions sont assez semblables, mais présentent également des différences dans le monde du numérique. En effet, la criminalité informatique englobe tous crimes recensés dans le monde de l’informatique, incluant les plagiats ou encore, les vols d’idées. Elle comprend de ce fait, la cybercriminalité qui ne concerne que réseau numérique et le système informatique. La criminalité informatique peut aller au-delà de ces deux domaines. On parle donc, de cybercriminalité quand il y a une action d’introduction, dans un système, engendrant une détérioration de données, ou la suppression de ces dernières. Cette action est un crime si l’acte est fait de manière volontaire. Il s’agira aussi de cybercriminalité si cette action découle sur une intention malveillante voulant faire une transaction financière frauduleuse ou pour effectuer des actes d’écritures fausses. L’action est également criminelle si elle vise à impacter de manière négative, le bon fonctionnement d’un réseau ou d’un système informatique, et cela, de manière volontaire.

Les différents types de cybercriminels

Devant ces définitions et ces typologies, on peut identifier différentes sortes de cybercriminels. En premier lieu, on a le hacker. Un hacker a pour but d’entrer par effraction dans un système ou un réseau informatique. Il vise l’exploitation du système et du réseau d’autrui, et en exploite les différentes vulnérabilités. Pour ce faire, il violera les règles de sécurité du système pour y entrer et voler des informations ou pour détériorer des données. Ensuite, il y a les crackers. Leur but des ces derniers, c’est de casser ou cracker les codes d’accès. Pour ce faire, ils vont faire en sorte de casser les codes inscrits sur les logiciels en vue de les copier frauduleusement. Dans ce cas, ils utilisent des patchs pour assurer le crackage. On a aussi casher dans la liste des cybercriminels. Ce dernier ne vise qu’une chose, le sabotage du système. Et ceci, en usant des failles pour forcer l’arrêt des services. Ils peuvent aussi envoyés des virus ou des worms (vers) pour détériorer un système informatique.

La protection de vos données personnelles : faites-les régulièrement

La première chose, et celle qui compte le plus, pour la protection de vos données personnelles, c’est de les sauvegarder de manière régulière. Ainsi, même si vous êtes attaqué par un ransomware, vous avez toujours accès à vos données. Le cloud se présente aujourd’hui comme une option assez sécurisée et la plus pratique pour la protection de vos données personnelles. Les sauvegardes se font de façon automatique, ce qui est très pratique et de plus, vous pouvez aussi les effectuer personnellement sur un périphérique externe, un disque dur externe ou une clé USB.

Précautions à prendre pour la protection de vos données personnelles

Même la sauvegarde via le cloud personnel peut être forcé par un pirate. Ce n’est donc pas un système de protection de vos données personnelles fiable à 100 %. Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est de retirer le périphérique dès que vous avez fini de faire vos sauvegardes. Faites une sauvegarde par semaine ou au minimum une par mois. Mettez une alarme pour vous rappeler que vous devez effectuer une mise à jour de la protection de vos données personnelles.

Mot de passe et sauvegarde pour votre site

Que vous soyez Webmaster ou un simple blogueur, en tant qu’éditeur,  vous devrez sécuriser l’entrée en back-office par un mot de passe solide. Il serait préférable d’oublier les prénoms, les dates de naissance ou les termes facilement reconnaissables. Vous devez planifier une sauvegarde. Ainsi, le contenu de votre site sera sauvé en cas d’attaque qui vous oblige à faire une refonte. Autre chose : il est fortement conseillé de faire une mise à jour régulière de votre plateforme, surtout s’il s’agit d’une adresse WordPress.

Adopter le certificat SSL et bénéficier de ses avantages

Le Secure Sockets Layer ou SSL est une carte d’identité digitale. Il s’agit d’un outil de cryptage indispensable pour protéger les échanges entre les internautes et un site Web. Le but sera essentiellement de sécuriser au maximum les données personnelles que les abonnés fournissent sur votre plateforme. En effet, les hackers peuvent s’intéresser davantage à ces renseignements qu’au site lui-même. De plus, ce type de prestation vous aidera pour le référencement plus tard. Google privilégie les sites les plus surs, dont ceux avec le protocole SSL.

Facebook Ads, la régie publicitaire de FB

Étant donné que Facebook (FB) est entièrement gratuit, il continue encore grâce à Facebook Ads, sa régie publicitaire. Vous aurez plusieurs emplacements au choix en ce qui concerne votre annonce. Préférez la colonne de droite ou bien une publicité directement sur le fil d’actualité. Cette dernière option reste la meilleure dans le sens où votre annonce apparait sans être intrusive. Il existe aussi des vidéos qui peuvent être suggérées ou intégrées. Puis, vous aurez la possibilité de choisir un format spécial pour les membres de FB se connectant sur mobile. Au besoin, votre annonce apparaitra sur la page d’accueil de l’application. Ce n’est pas tout, il est possible de faire apparaitre votre publicité Facebook Ads ailleurs que sur le réseau social. Bref, vous aurez une multitude de choix.

Les différentes étapes de la campagne

La première chose à faire avant même de lancer la campagne publicitaire serait de bien choisir la cible. Facebook Ads offre l’opportunité de réaliser une frappe chirurgicale. L’âge, la localisation, les centres d’intérêt et de nombreux autres critères seront pris en compte. Alors, le contenu de la publicité devrait être réfléchi en fonction des destinataires. Pour ce qui est du lancement de la campagne proprement dite, l’interface Facebook Ads est assez simplifiée. Il faudra notamment spécifier le nom de la publicité, la description, le visuel à afficher et éventuellement la vidéo. La pub serait vaine sans une redirection vers un lien externe au site. Pour la facturation, vous aurez le choix entre le cout par clic sur votre annonce ou le paiement d’un forfait pour 1000 affichages.